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Les Templiers Normands

Les Templiers Normands

Histoire

Histoire

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Notre Histoire............

Gîte situé prés de Gournay-en Bray qui n'était pas un comté mais une châtellerie. Pendant deux siècles une lutte farouche s'ensuivit entre les Rois de France et les Normands, la ville fut tantôt dans un camp tantôt dans l'autre.

En 1066, lors de l'invasion de l'Angleterre par Guillaume le Conquérant, Hugues, Sire de Gournay, participa à l'expédition et s'y fixa. Ce n'est qu'en 1202 que Philippe Auguste s'empara de Gournay après un siège mémorable. Les destructions furent nombreuses et le Roi répara les dommages et fit restaurer l'église. C'est dans cette Collégiale qu'il fiança sa fille Marie à Arthur de Bretagne, qu'il arma Chevalier.), Gerberoy(cité historique), Forges-les-eaux (station thermale renommée attirant de nombreuses personnalités, telles Louis XIII, Anne d'Autriche, le Cardinal de Richelieu en 1633 et bien d'autres encore...)


Les terres de Doudeauville ont été témoins de l'invasion en 851 de Vikings Danois commandés par ASGEÏR.

Dans l'Epte qui serpente dans les alentours ont été retrouvées des épées viking .D'autres vestiges sont encore enfouis et ne demandent qu'à être découverts...

Notre région est riche d'histoire et votre séjour sera riche de visites,festivités,spectacles ou simplement de découvertes nature,faune et calme...........

Jacques de MOLAY

La chapelle Saint-Jacques

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la Commanderie du Temple de Beaune a été créée en 1177 dans le faubourg Saint-Jacques, époque dont datent les vestiges de la chapelle encore visibles. Elle est aujourd’hui propriété privée et de nombreux appentis y sont adossés, modifiant son aspect général. La commanderie du Temple, grâce à des dons successifs, avait pris une importance en surface d’exploitation et en bâtiments construits entre le faubourg Saint-Jacques et la rivière Bouzaize pour y loger et y faire vivre les chevaliers et le nombreux personnel. C’est en ce lieu que le jeune Jacques de Molay (1243-1314) est intronisé chevalier en 1265 dans l’ordre du Temple. Il sera le dernier grand maître templier et mourra brûlé vif.

Sa perte signera l’effondrement de l’ordre. Par la malédiction qu’il aurait proféré sur le bûcher, Jacques de Molay demeure encore aujourd’hui un mythe. Pour dénicher la chapelle templière et lire la plaque qui y est apposée, il faut faire quelques mètres dans le chemin gravillonné qui donne sur le faubourg Saint-Jacques.

Jacques de Molay, né entre 1240 à 1250, fut le 23ème et dernier maître de l'Ordre du Temple. Il s’était distingué par sa valeur au combat en Terre Sainte avant d’accéder à la tête de l’ordre, mais, une fois en France, il se montra piètre politique face à Philippe IV le Bel, Guillaume de Nogaret et Enguerrand de Marigny, et il ne put empêcher la chute de son ordre. Son nom est un des plus connus parmi les Templiers avec le fondateur de l'ordre, Hugues de Payns, bien que l'on ne dispose que de peu d'informations sur les deux premiers tiers de sa vie. Lors de son élection, qui eut lieu avant le 20 avril 1292, Jacques de Molay promit de réformer l'ordre et de l'adapter à la situation prévalant désormais en Terre sainte. L'ordre traversait en effet une grave crise d'identité provoquée par la disparition des États latins d'Orient consécutive à la chute en mai 1291 de Saint-Jean-d'Acre, créé au départ pour assurer la protection des pèlerins, l’ordre du Temple avait rapidement été amené à participer à la défense des États latins d'Orient, dont la survie était perçue comme la meilleure des protections pour les pèlerinages. Deux décennies plus tard, Jacques de Molay ne réussit pas à sortir vainqueur de la procédure inquisitoriale lancée contre le Temple. Il mourut le 11 ou le 18 mars 1314 sur un bûcher dressé sur l'Île de la Cité à Paris. L’exécution fut mise en œuvre par le roi de France Philippe le Bel, après que l'Église eut remis Jacques de Molay au bras séculier car il (ainsi que Geoffroy de Charnay) était revenu sur ses aveux, ce qui faisait de lui un relaps.